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Produit par DreamWorks Animation et Mikros Animation, La Nuit d’Orion suit Orion, un enfant de l’âge élémentaire, qui semble être le gamin moyen, timide et sans prétention qui a un béguin secret. Mais sous ses dehors apparemment normaux, Orion est une boule d’anxiété adolescente, complètement consumée par des peurs irrationnelles des abeilles, des chiens, de l’océan, des clowns meurtriers, de tomber d’une falaise, et même d’avoir un cancer. Mais de toutes ses peurs, celle qu’il redoute le plus est celle qu’il affronte tous les soirs : l’obscurité. Alors, quand l’incarnation littérale de sa pire peur, Dark, lui rend visite, Orion est entraîné dans un tour du monde en montagnes russes pour prouver qu’il n’y a rien à craindre de la nuit. Au fur et à mesure que le couple improbable se rapproche, Orion doit décider s’il peut apprendre à accepter l’inconnu – cesser de laisser la peur contrôler sa vie et enfin embrasser la joie de vivre.

Lorsque Lamb et Bian réalisaient leurs expériences pratiques, ils filmaient le processus et les résultats sur leurs iPhones pour les envoyer aux différents départements de production et à leurs partenaires d’animation chez Mikros Animation à Bangalore, en Inde.

“Certaines parties du film sont en fait des séquences filmées avec nos iPhones et d’autres sont recréées numériquement”, explique M. Lamb. “C’est donc un mélange intéressant de médias. Il s’agit essentiellement d’un masque positif et négatif de cette vidéo que nous prenons à l’encre différente, et il est impossible de le contrôler. Il a fallu prendre des centaines de séquences sous le bon angle et à la bonne vitesse, les combiner, les assembler et créer un masque pour une peinture matte ou une scène, plutôt que de dire : “Voici notre référence. Maintenant, recréez-la numériquement à l’aide d’un logiciel”.